Dans les brumes
Le soleil renaît
La plaine est immense
Le fleuve limpide
On amarre la barque
Le voyageur renaît
Il entend les bruits de l’auberge
Il se rapproche des humains
Le soleil couchant
Enjambe les vallées
Grâce à lui l’ouïe humaine
Se remplit des vents et des sources
Les bûcherons
S’immobilisent
Espérant ta venue
Princesse d’hellébore