Les rochers éparpillés se perdent
Dans le vert lointain
Les hennissements des chevaux
Sont ponctués de coups de rames
Notre barque est dans une attente insouciante
Bancs de sable et touffes d’herbes
Les mouettes s’envolent et se dispersent
L’unique aigrette s’envole aussi
Champs et rizières à l’infini
D’une peinture réussie
Enfin je pars à la recherche du vieil errant
Pour me perdre dans l’oubli des humains
Les saules et les fleurs sont en tiges
Le soleil s’en va La pluie est fine
Rôdent les plaisirs d’antan
Le rideau brodé est baissé