Après la maladie je me sens faible
Mes cheveux se sont soudain ornés de givre
Par la fenêtre ouverte la lune restante
Eclaire un reste de lit
Nous buvons une tisane
Aussi savoureuse que le thé
Nous lisons de la poésie
Allongés sur le lit délice
La seule présence amie
Est cachée dans la nature
Dont elle fait partie
Le paysage est rafraîchi par l’averse
Chercher Fouiller
Silence Froideur
Ta tristesse rompt le coeur
Je parle à coeur fendu