Les étoiles scintillent par myriades
Rendant plus noir le ciel
Qui a jamais entendu ce qu’elles se disent ?
Chacune a une faible clarté
Firmament ôte ton masque d’étoiles
Que nous contemplions ta face opaque
Hors de la voute céleste
On dirait que tout est vrai tout est pur
Tu es restée assise trop longtemps
Ouvre grand la fenêtre
La mer t’offre sa nostalgie infinie
Elle se livre aux confins du ciel
Les vagues s’étendent jusqu’à l’oubli
Je prie seul sur la cime
Les éléments sont infinis
Je sais que je les prie en vain