Le poète pas à pas peu à peu entre
Dans le paysage de son poème
Où réside le mystère sans fin
Quand le sourire s’efface ?
Je sais gré au ruisseau familier
D’avoir coulé tout un printemps
Tant de pensées nous quittent
Au fil de l’eau
Suis ton cours à loisir
Vers le monde des humains
Je reste près de ta source
Aux mystérieux échos *
* Rappel : Lyr a pour source François Cheng, « Entre source et nuage, » Albin michel éditeur,….