Lyr 107

Les herbes tendres
Sont nimbées de brume
Un chemin creux
Y conduit dans les bouleaux

Le paysage industriel
Se fond dans la fumée
Mon corps s’enveloppe dans la froidure
Tout dans le bruit semble attendre

Je sens que la nature est grave
Ce qui en reste
La montagne au loin
Recèle ta mélodie

Les grillons se taisent
Au puits un vieillard remplit
Son seau de clair de lune
La nuit se repose-t-elle ?