Je me protège du soleil
Par l’orage
Le beau tonnerre de mes aïeux
A siroter langoureusement
Je n’aime pas les mouches
Elles se servent à la louche
Elles s’applaudissent vigoureusement
Leurs yeux globuleux éclairent le monde
L’humain détruit par le feu
Il a plein d’armes l’humain
Je vois encore l’aurore
Eclairer l’univers
Encore encore
Dans ma bouche je souffle
Seul l’écho du deuil
Me répond