L’extérieur est intérieur
L’inanimé est animé
Le stérile est fertile
Les extrêmes se font du bouche à bouche
Je crois en moi et pas toi
Tu ne crois que dans le torrent
Qui bouscule la montagne
Je crois en toi comme un écho
La montagne est vide
Elle sacrifie la vie
L’humain du silence
Disparaît dans le bleu
Le vrai est invisible
Il est retiré comme le sage
Dans le paysage qu’il a tracé
Le sage est l’homme-montagne