Les sommets absolus
Valent une chanson
Pleine de doutes
Qui sortent de la soute
Les chansons sont les compagnes du ciel
Elles s’égarent au delà des espaces reconnus
Elles sont étrangement seules
Enfouies et féériques
Les esprits étroits
Ne se rendent jamais au doute
Ils ne se rendent jamais
Dans les étranges solitudes
Les esprits étroits
S’accrochent à leurs préjugés
S’ils s’en débarrassaient
En l’absence de chemin
Ils courraient à leur perte