Les insectes de l’été
Doutent de l’existence de la glace
Les oiseaux lissent leurs ailes
Dans la certitude de voler
Le principe est évident
Il n’est pas transparent
L’appeler tao ne le rend pas
Moins obscur
Au sein des merveilles
Il révèle sa silhouette
La cité est hérissée d’oriflammes
La cascade plane sur ces propos flous
Les yeux écarquillés
Je me mets en route
Les oiseaux-montagne
Ont eux aussi des plumes
J’en voudrais une