Les étoiles pâlissent
Unis dans l’ivresse
Nous savourons l’oubli des principes
Pour en retrouver vite fait
Le fleuve ouvre les portes du ciel
Je me demande: Comment procède-t-il ?
Les parois des deux rives défilent
Mais une voile solitaire sort du soleil
Aux nuées de quitter la ville
Nous regagnons du terrain
Les singes crient on ne sait pourquoi
Notre esquif est à vif
La mer m’enivre
Je porte un manteau de brumes rouges
Le soleil meurtrit les branches
L’amour rend maladroit