Les compagnons chercheurs de montagnes
Débordent d’activité
D’eux-mêmes ils affluent
Regardez-les depuis les cités lointaines
Vous ne verrez que des nuages
Je ne sais plus partir Je ne sais plus prendre congé
J’abandonne à regret les mousses et les lichens
Si je peux délaisser les monts bleutés
Qu’en sera-t-il des verts torrents ?
Le vieil ami est invisible
Le soleil infiniment se lève à l’est
Le paysan de génie se lève d’un bon pied
Avant de retourner la terre
Son île est plus vide que la montagne
Plus vide que le paysage
Nous pleurons avidement
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