La montagne au printemps
Par une nuit de lune
Déborde de jolis moments
Nul ne ment
Jouons dans l’oubli du retour
Je bois de l’eau fraiche
Je viens de la puiser
La lune dans mes mains se love
Je taquine de petites fleurs jaunes
Etrangement leur senteur m’inonde
En principe elles ont peu de parfum
Il faut savoir sentir et ressentir
La joie du tao efface le proche et le lointain
Le tao offre un éternel présent
Parce qu’il est tout à la fois
Sans s’en apercevoir