L’air sur l’eau est de la gaze
Qui te rend visite ?
On dit que dans la montagne
Quelqu’un est mort pour toi
Le luth est effleuré en haut de l’abrupt
Dans un froissement d’ailes
L’immortel se pare
Des plumes du paon blanc
Il convient de chasser les nuages
Le cerf boit au fond du ravin
Le poisson s’attarde au bords de la mer bleue
Il annonce les pêchers
Les paroles sont claires
Les rires lumineux
Dans l’espace vide
Sus à la vague géante !