Une torche allumée n’éclaire pas
Quand brille le soleil
Il est inutile d’arroser quand il pleut
La renommée est une ombre de la réalité
Les vases liturgiques sont là pour briller
Un sage brille mais n’éclaire pas
Mes muscles sont de la glace, ma tête est de la neige
L’aveugle est sourd à l’élégance du costume
Pourquoi s’occuper du monde ?
L’empire n’existe plus à mes yeux
J’ai détruit la grande courge
Je suis un petit arbre qui pousse tout seul
Le yack est grand mais ne peut attraper de souris
Tout est permis au pays du néant ou dans l’immensité vide
L’inutilité échappe au malheur
Tu t’affliges mantenant comme tu t’affligeais jadis