Je suis fixé avec mes ombres
Le monde n’existe pas
Le monde n’existe pas vraiment
Tu as de curieuses idées parfois
Je me mets à genoux
Pour ressentir ton ombre
Je ne reçois que des coups
Du vent qui s’enfuit vers le large
Tu pourrais m’enchanter
Au lieu de me fixer
Immobile parmi tes ombres
Tu es bien sombre
J’adorerais être humble
Dans la paix que certains atteignent si facilement
L’enfer c’est au dernier étage à droite
L’enfer des oignons et des goîtres