L’hôte réside à l’écart du chemin
Il ne se plaint de rien
Surtout pas du vent
Qui parfume l’horizon
Les fleurs de prunier sont délicieuses
A peine entendue cette phrase sacrée
La tristesse prend le coeur du noceur
Le jardinier la cueille chaque jour
Les vents signalent les traces de la disparue
Il est trop tard pour les suivre
Nous attendons les fleurs de cerisier
Une dame les pleure le temps restant
Même les vents ne lisent plus les traces
N’apportent plus les ombres
Les malheureuses fleurs de cerisier
Se dissipent sont dissipées