Je navigue d’état en état
Je suis ballotté par l’amour
Le chemin est déchiré
Dans mon pauvre corps
Je désire toujours autant
Je désire toujours l’amour
je ballotte je ballonne
Je ne sais plus où j’en suis
La nature s’éclaire d’elle-même
Beaucoup ne le voient pas
J’ai de grands désirs
De grandes aspirations
La nature en moi est vaniteuse et vaine
Je ne m’étonne pas plus que ça
De ne pas réussir à approcher l’amour
Moi un maître présumé de la loi