Je connais un domaine
Qui fut sacré
Tout y parait aujourd’hui
Etrange et étranger
Tout y parait altéré
Comme si rien n’avait existé
Tout y parait désert
Comme si personne n’y avait habité
En le découvrant je dissimule ma surprise
Les vestiges paraissent hantés
Par des fantômes timides
Il y a place pour le doute
Autrefois un sage y habitait
Il ne se vantait pas de sa sagesse
Il aimait les vieilles pierres
Patinées par le temps