Je suis tranquille dans ma demeure
Dans ma paisible demeure
Je m’habitue de loin
Aux violentes voix de la tempête
Pourquoi le coeur
Reste-t-il marqué par les teintes
Et les formes
De la fleur de cerisier ?
La montagne est belle et lointaine
Qui grimpera sur le tapis de mousse
Rocher après rocher
Pour quelques fleurs de cerisier ?
Dans la pluie de mai
Le soleil est caché
Dans les nuages entassés
Un passereau passe criant