Ceux qui n’ont pas de coeur
Aiment le vol de la bécasse
A l’extinction des feux
Au dessus de l’étang
Errer tâtonner
Dans l’errance trouver l’oiseau rare
Y en a marre des oiseaux
Qui ne savent pas chanter
Je peux errer là où affleure la lumière
La lueur de la lune traverse l’auberge
La lune est plus touchante que d’habitude
Elle enveloppe les corps et les coeurs
Mes mots se gravent sur le pilier gauche
Je connais un passage qui ressemble
A un au-delà du monde
Paradis du non-dit