Sur la haie
Parmi les fleurs écloses
Voltige un papillon
Ephémère
La fumée du volcan
S’incline au vent
Elle se dissipe dans le ciel
Sans sens ni direction
Infini est l’espoir de la vie
Je monte au temple
Je vois le lac
Je prends le dernier bac
Il ne me reste rien de la poésie
Sinon en écho
De plus en plus faible
Le dernier poème