A l’arrêt plus guère de péril
La voie est comme le fleuve à la mer
Rien ne la surpasse
D’elle descend une douce rosée
Pour connaître les autres il faut se connaître soi-même
Il faut être robuste sans abuser de la puissance
Qui est content est riche
Dans le pire des cas il n’est pas pauvre
Il faut franchir la mort sans périr
Pour connaître la longévité
Ne perdons pas nos repères habituels
La mort n’est que la fin de la vie
La voie se répand Chacun dépend d’elle pour vivre
Elle nourrit et vêt tout le monde
Elle n’asservit personne Dans l’oubli de sa grandeur
Sa grandeur se parachève