Roses rouges dont l’incarnat
Vient des joues des belles
Jacinthes amoureuses
De leur chevelure bouclée
Aux arbres verts
Les grenades vertes
Sont suspendues
Rien n’égale la beauté du paon
Ils mouraient de soif
Leurs coupes étaient vides
On ne cessait pas de contempler
L’épouse du roi
Il est des assoiffés
Qui ne cessent de boire
Je suis l’oiseau
Et tu es le filet