La mer s’est brisée en vagues
Une infinité de vagues
Elle s’est couverte d’écume
Une infinité de flocons d’écume
Nul ne peut monter jusqu’à la lune
Nul ne peut devenir la mer
Je suis partisan de retourner à la terre
A la source loin des couleurs et des parfums
Je connais un maître qui ne manque pas d’esprit
Sans pour autant être spirituel
Il ne fait pas venir la lumière sur le monde
Il se contente d’un trou son gourbi
Rien n’est périssable Tout est éternel
Il faudrait relire Platon
J’ai peur je meurs de peur
Mon essence sort de chez moi