TWR 228

Je parcours vos rues
J’entre dans vos maisons
Enfin c’est mon esprit qui entre
Je lui fais confiance Pas vous ?

Je connaissais tes joies tes peines
Dans mon sommeil tes rêves sont mes rêves
Tu es poursuivie par des monstres cauchemardesques
Tu m’as déjà dit qu’il est trop tard

Je ne te réveille pas
Je te caresse doucement
Tu te rendors profondément
J’essaie de penser

Allongé sur le lit matrimonial
Je pense mieux que jamais
Entre conscience et sommeil
Je veille