Rom 17

Les paroles nous trahissent
Mais elles détiennent notre secret
Je gémis je suis artificiel
J’efface la rouille des miroirs

Je suis un cavalier
Ma monture est le ciel
Bien au delà des nuages
Je ne suis pas un mage

Je ne suis même pas un sage
Humain trop humain
Trompeur détrompé
Je me rapproche de l’âme

Mon âme est un âne
Gentil mais coupable de mal chanter
Mon âne porte les fardeaux
Dont je crois me débarrasser