A l’être aimé nous multiplions les cadeaux
Nous pouvons être tentés par le pire
Ne succombons pas
Ne succombons jamais
Mon sang ne dort pas
Le monde est comme une citadelle vide
Reste la cruauté inutile
Je me tais Je ne devrais jamais me taire
Seul un dieu peut menacer un autre dieu
Te crois-tu un dieu ?
Je pardonne aux braves personnes
Et aux moins braves
Par le bouillonnement de mon sang
Je jure être disert
Par les plaines et les montagnes
Jusqu’à l’au-delà du monde