L’arrogance fait le tour du cadran
J’aurais été trop heureux
De te présenter mes aïeux
Heureusement tout est circonférence
La défaite en appelle à la victoire
C’est le gueux qui définit le festin
Mon bonnet de dentelles éternelles
N’a pas de nom certifié
N’a pas d’étiquette
Enfin j’ai pu entendre son nom
Que j’ai instantanément oublié
C’est un progrès énorme
Dommage que le plancher aie une âme
Le nuage ne se soucie pas
D’un incident mineur comme le malheur
Les bateaux s’évanouissent
Je contemple ahuri le ciel moqueur