Nos paroles ont des ancêtres
Leur pratique a ses maîtres et ses serviteurs
Antiques ou actuels
Nous les ignorons tous comme ils sont
Si peu me connaissent
Les saints vêtus de toile
Cachaient sur eux un jade
Ils étaient peu à le savoir
Car ça n’intéressait pas grand monde
Celui ( celle ) dont le coeur se serre
Gagnera le combat
On pousse loin l’inanité de la connaissance
Un peu de savoir fait du bien
On souffre d’être atteint
Par une flèche du destin
Qui ne nous est pas destinée
Sauve qui peut !