Je renonce à l’orgueil
Par où je restais fort
Tu restes prodigue de ton âme amoureuse
Fondue en moi pensive heureuse
Dans le bourg qui brille au milieu des prairies
Grâce du décor
Il en est qui pleurent
Le silence infini de l’amour
Le sein que tu presses
N’est qu’une pierre nue
Ta voix n’est qu’un écho
Ton désir est expert en tromperie
Tu écoutes ce que tu veux entendre
Mon immortelle amour
Tu n’es qu’ivresse d’absinthe
Ton art s’écaille comme un fard