Il pétrit ébauche achève
Sa main tremblante d’amour
Fixe le contour invisible d’un rêve
Rien n’existe vraiment
L’eau tragique frissonne
Je ne suis ni tragique ni tragédien
Je ne suis ni comique ni comédien
L’heure sonne
Sais-tu à quoi me fait penser ta pensée ?
A de l’eau jaillissante !
Le ciel joue
A quel jeu ?
Connais-tu ce jet
Qui tombe avec la nuit
Dans le bassin aux nénuphars ?
Il ne se lasse jamais