La sébile est débile
Où le sable d’or luit
Le feu est mourant
Je suis assis tranquillement
Je suis bien vivant le matin
Le soir je suis toujours fatigué
Dans le crâne dans le cerveau
C’est l’effet des jours amènes d’autrefois
Je me reprends à t’aimer
Jeune sorcière
Je n’appréciais pourtant
Que les chastes ivresses à vingt ans
A quoi bon l’ivresse orageuse ?
Le soleil déchu laisse traîner sur les eaux
La dernière onde de feu
Les bras ouverts je l’égalais un peu