Ils connaissaient la route, les malandrins
Leurs rapines leur réussissaient bien
Ils vinrent te chercher
Sur l’étroit sentier
J’errais loin dans la nuit
J’étais ignorant
Comme je n’étais pas savant,
Je ne te craignais pas
L’obscur dans l’obscurité
je n’ai trouvé ton seuil
Que par un étrange hasard
Les sagesses réunies se hérissèrent
Elles m’intimèrent de renoncer, de m’en retourner
Mon malheur et ma faute !? Je n’avais pas suivi l’étroit sentier
J’allais repartir serrant mes doutes contre ton sein
Mais tu m’as retenu fortement contre toi
La fureur des sagesses harpies n’a cessé de grandir