Un sourire joyeux illumina les cieux
Tu revêtis mon âme de haillons
Tu l’envoyas mendier le long des routes
Elle s’en allait de porte en porte
Elle remplissait son écuelle
Qui souvent lui fut dérobée
A la fin d’une journée fatigante
Mon âme arriva à la porte de ton palais
Toujours exhibant sa misérable écuelle
TU SORTIS de ton château
Tu pris l’âme par la main
La fis asseoir à tes côtés
Lui donnas un baiser sur le front