Le papillon de nuit est mort auprès de la bougie
La bougie meurt au coeur du vent
Ah ! Faire de soi un phare !
Je parle aux roses qui pleurent
Ma solitude réside au fond de tes yeux
Nous attendons l’aube
Rochers blancs feuilles rouges
L’azur vide mouille mes habits
Repos de l’humain Chute des fleurs
Montagne déserte
Poisson au bec il fait une halte
Il flotte seul sur une branche
Pas un instant pour se retourner sauf un
La montagne grise et verte est entourée du nuage blanc
Les nuages blancs n’en font plus qu’un
Le doux rayon vert s’efface
Je rêve sans souci du retour
L’hirondelle reconnait son nid