A minuit le silence règne
Je n’ai plus de voisin ni d’ami
Ma vieille hutte est loin dans la bruyère
Les feuilles jaunes frémissent sous la pluie
La lampe brille sur mon crâne chauve
Perdu dans ma solitude pendant de longues années
J’avais honte de te demander
De venir plus souvent
Nous nous sommes enfin retrouvés
Soyons les bienvenus