Sous les arbres un enfant court parmi les marbres
Les songes creux sont avec nous
Les yeux sont graves de ceux qui t’aiment
Eux aussi passent et repassent entre les arbres
Les grandes orgues devraient signaler les vieux départs
Dans un vieux rêve au pays vague
Nos choses brèves sont presque sages
Quand tu vacilles au sommet du désespoir
Les larmes rebelles sont taries
Tu ne peux plus monter
Ton petit coeur de coton souffre
Je ne veux pas me laisser prendre
Non Non non !!!
Je veux me sauver de l’étiquetage du compartimentage
Pas de catalogue à mon nom
Pas de regard captif
Un abîme s’ouvre sous mes pas
Je monte Il faut monter je monte