Regarder la lune et partir pour le plaisir
Grâce la solidité des lieux et de nos efforts
La mouche se promène sur la fleur
Elle s’en frotte les mains
Les fétiches ne s’aiment pas
Ils se conservent bien
Leur révolte est suicidaire
Je suis seul dans l’aire sans combat
Les nouveaux-nés se la jouent à l’ancienne
Les certitudes leur sont imposées
Les vagues sont perdues l’une après l’autre
Elles font craindre la suivante
L’invisible est enterré
Mais le visible aussi
Lui surtout se terre
Il ne manque pas d’air