Hommage à Ronsard ( 2 )
Fontaine chérie de nos nymphes Quand ton eau les cache au creux de ta source Fuyant le satyre qui les pourchasse Tu es la Nymphe Vois en ce pré verdelet Ton poè...
Fontaine chérie de nos nymphes Quand ton eau les cache au creux de ta source Fuyant le satyre qui les pourchasse Tu es la Nymphe Vois en ce pré verdelet Ton poè...
Comme on passe en été le torrent sans danger Lui qui en hiver régnait sur la plaine Ravissait par les champs dans sa fuite hautaine L’espoir du laboureur ...
J’avais un valet de Gascogne Gourmand ivrogne et menteur assuré Pipeur larron jureur blasphémateur Sentant le gibet cent lieues à la ronde Au demeurant le...
Je vais poursuivre mon hommage à la poésie française du XVI° siècle, prodigieuse et diverse, de l’éloge de la vénerie et des travaux des champs à l’...
Jean Godard vécut autour de 1600 : Chez l’homme le mal est volontaire S’il est malheureux c’est qu’il veut l’être Il donne toujour...
Nous poursuivons et terminons notre cycle, commencé avec Flaminio, d’inspirations qui nous paraissent exagérées, mais qu’on peut traiter de baroques...
A quoi pense le petit poète ? A son blog évidemment
Nicolas de Montreux est cité pour témoigner des efforts théâtraux du XVI° siècle : Athlette, pastourelle Acte I, scène I Delphe, magicienne, parle immobile et d...
Flaminio de Birague, d’origine italienne, semble un peu exagéré, même au XVI° siècle : Vit-on jamais o Fortune trompeuse Rien de plus misérable de plus tr...
Simon Goulart fut un protestant fervent autour de 1600. Je laïcise le texte : Je cours et n’en puis plus J’écoute et je suis sourd Je regarde je ne ...