PCE 68
La mer est pourpre ce matin Je balaie les rayons du couchant Je pénètre l’infini tournoyant Pourquoi retourner au pays ? Je m’abandonne au souffle d...
La mer est pourpre ce matin Je balaie les rayons du couchant Je pénètre l’infini tournoyant Pourquoi retourner au pays ? Je m’abandonne au souffle d...