Pernette aima Maurice Scève, son ainé, avant d’épouser le bon Du Guillet :
Que j’aime ma robe fourrée
Je ne sais rien moins que ça
Je prends mon plaisir ça et là
Je tends à plusieurs
Je t’ai révélé le feu en moi celé
En moi scellé
L’ardeur commune
Qui les jeunes gens importune
De toi je veux …
Mais tu t’habilles de vertu
Tu es richement vêtu
Maintenant d’amour sainte
Chastement atteinte
Je ne sais rien de mieux que ça