Si nous considérons nos lointains ancêtres d’il y a un million d’années, ils ressemblaient beaucoup plus à nos cousins les singes qu’à nous autres.
Il y a deux cent mille ans l’homo sapiens sapiens monopolisait ce qui était devenu à coup sûr l’humanité, mis à part l’homo sapiens neerdanthalis, sympathique homme de Néerdanthal, très humain, mais qui finira bien plus tard par disparaître, victime de ses traits archaïques.
Le progrès des techniques humaines de manipulation de la nature et de l’information a connu des révolutions gigantesques. Comme me le disait, voici plus de vingt ans notre ami André Levasseur, la révolution du numérique est comparable à celle de Gutenberg, l’imprimerie.
A notre époque l’émancipation de la femme est fondamentale et décisive pour l’avenir.
Les progrès de l’humanité ont été nombreux et révolutionnaires.
il n’y a pas de nature humaine. Il n’y a qu’une condition humaine. Mais quelle est l’essence de cette condition éminemment historique ? A ce niveau, essentiellement éthique, y-a-t-il progrès? C’est possible, ce n’est pas sûr.