Le fabuliste inconnu ( 105 )

Le fabuliste inconnu suivait un laboureur
Et répandait quelques paroles
De sagesse et d’espoir
Le laboureur se retourna :
« Peux-tu me donner un coup de main, vieux frère ? »
« Immédiatement l’ami »
Répondit l’inconnu :
« La science n’est rien
Sans le pain
Qui nourrit le savant »