Les fables de Fabre 2

Un vieux geai se parait de plumes de paon
Des jeunes se moquèrent de lui :
« Regardez ce vieux beau
Plus il se rajeunit
Plus il vieillit ! »
Le geai ne les écouta pas
Et séduisit une naïve pucelle
Il s’adressa aux jeunes :
« Vous me connaissez trop
C’est là votre défaut »