Les disciples sont autant de plantes et d’arbres qu’il faut traiter chacun selon son espèce. Il faut joindre les branches aux racines, c’est à dire la fin au début, apanage de la sagesse suprême
Tu t’es acquitté de ta fonction, consacre-toi à l’étude. Tu estimes avoir assez étudié, consacre-toi à une fonction
Le deuil va jusqu’à l’affliction, mais pas plus loin
Un disciple aime s’attaquer au difficile, mais ce n’est pas encore de l’humanité
Un certain disciple en impose tellement qu’il devient difficile de travailler l’humanité avec lui
Celui qui n’a pas été au bout de lui-même y sera poussé par la mort de ses parents
La piété filiale d’un riche homme était telle qu’il ne changea ni les conseillers ni les méthodes de son père
Les gouvernants ont perdu depuis longtemps la Voie et le peuple sa cohésion. Quand vous élucidez une accusation, ayez d’abord de la compassion
L’homme de bien craint de tomber bas et de se voir imputer tous les crimes de l’univers
Les fautes de l’homme de bien sont comme les éclipses du soleil ou de la lune, quand l’astre disparait tous s’en aperçoivent, quand l’astre revient, tous s’en aperçoivent
La Voie n’est pas tombée dans l’oubli. Elle vit toujours parmi les hommes. Les plus sages en ont les principes, les moins sages des détails. Pas besoin d’un maître déterminé
Un disciple déclare : « Le mur de mon humble demeure monte jusqu’à l’épaule. Celui de la maison de Confucius mesure la hauteur de plusieurs hommes. Il faut en trouver l’entrée, ce qui ne se fait que rarement
Il est ridicule de vilipender Confucius. A côté de cette montagne il n’y a que des collines. Confucius est un astre, soleil ou lune. Personne ne l’effleure
L’homme de bien peut révéler d’un mot sa sagesse et d’un mot son manque de sagesse
Le maître ne peut pas plus être égalé que l’on ne peut atteindre le Ciel par une échelle