je passais les vacances d’été dans la maison de campagne
De mes grands-parents Pépère travaillait en juillet
Il faisait très chaud La grand-mère se mettait à l’aise
Je tournais autour d’elle Un matin je me collai à elle
Ele ne se déroba pas Le lendemain je lui pris les seins dans mes mains
« Ils sont beaux tes nénés mémé » Elle sourit
Se dégagea d’un baiser rapide sur mes lèvres
Un jour passa je cogitais Le matin je recommençai
Je retins mémé Elle dit : « Tu es beau » Elle avait la main sur ma braguette
Elle me demanda de garder le secret « Sinon tu n’auras plus rien »
Ce qui me surprit de retour chez nous, c’est que ma mère
Me demanda : « Tu as fait la cour à ta grand-mère ? »