Erotoques 48

L’univers est fait de globes. L’univers féminin n’est fait qu’en partie de globes, les fesses et les seins.
Les fesses féminines sont parfois d’une beauté abyssale. Mais mon monde est fait des seins
Les seins sont pour moi le symbole, l’icône de la femme, de la féminité, de la fécondité, de la fertilité…
Ils sont très divers, petits, gros, ronds, oblongs, pointus… Chaque sein a sa personnalité y compris sur la même poitrine. Ils sont tous aimables, parfois adorables
Je ne parle même pas de la pointe, du mamelon que certains veulent à tout prix cacher à la vision de tout un chacun. On se demande bien pourquoi il faut dissimuler l’une des sources de la vie.
Il me parait bon que les seins, les regards qu’on leur porte, les caresses qu’on leur prodigue accompagnent chaque phase de l’amour, du flirt initial au spasme final.
Je rappelle ce que je vous ai dit, dans un précédent article Er, que les seins sont trop cachés dans nos villes contemporaines. Certes ils sont suggérés et la suggestion fait partie de nos rapports humains.
Les femmes de New-York city, N-Y, ont obtenu de haute lutte le droit d’avoir les seins nus dans la rue. Elles utilisent peu ce droit par peur légitime des insultes. Les humains se font beaucoup de mal avec leurs préjugés débiles.
L’importance que j’accorde aux seins, aux nénés, aux nichons ne me fait en aucune façon oublier que le corps féminin est une entité, une totalité que le cerveau domine.
En matière de sexe, comme souvent, l’occasion fait le larron