Pz 113

Le tao n’est ni bête ni humain
Ou plutôt il est tout à la fois
Enfant j’étais plutôt commun
Mais j’étais aimé des miens
j’avais pour les animaux
Un amour spontané
Piégé par la poussière du monde
Je restais longtemps à l’université
Les oiseaux captifs se languissent
Je ne rêve pas d’une hutte dans la montagne