PZ 118

Lorsque l’esprit est immobile
Le vent qui souffle l’oiseau qui vole
Les nuages qui voguent sont immobiles
Figés dans l’immobilité
La vie éternelle demeure dans l’état du non-esprit
L’absence d’esprit n’est pas réservée aux crétins
Apparaissent inattendues pour certains
Les souffrances de la non-concentration
Puis les maladies
Les saisons se succèdent sur notre terre
Dans l’harmonie cosmique qui n’est pas comique
Puisqu’elle est perpétuelle